En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

Documents Livre Blanc 80 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
2y
- n° 99 - p. 13 à p. 13
Cote CLER : A2
Seule organisation jeune présente lors du Débat national sur la Transition Energétique (DNTE), le REFEDD a publié en juin 2013 un livre blanc où se sont succédées une phase de sensibilisation, une phase de consultation et une phase de délibération.

Région française administrative ; Transition énergétique ; Livre Blanc ; Association ; Généralité énergie renouvelable ; #clerinfos

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 35 - p.06 à p.07
Jean-Louis Bal, président du Syndicat des Energies Renouvelables, a présenté jeudi 19 janvier dernier, le livre Blanc des énergies renouvelavbles, en posant d'emblée une ambition forte en cette période de crise : la création de 125 000 emplois dans la filière des énergies renouvelables d'ici 2020. Entretien

Généralité énergie renouvelable ; SER / Syndicat Énergie Renouvelable ; Emploi ; Facture énergétique ; Aide financière ; Solaire photovoltaïque ; Entreprise ; Objectif européen ; Allemagne ; Livre Blanc ; Politique énergétique

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 745 - p.16 à p.16
Cote CLER : A3
Le Syndicat des énergies renouvelables (SER) publiera d'ici l'automne un livre blanc pour orienter les présidentiables vers une politique publique volontaire et juste à l'égard des énergies renouvelables.

SER / Syndicat Énergie Renouvelable ; Livre Blanc ; Politique énergétique ; Généralité énergie renouvelable ; Grenelle de l'environnement ; Organisme ; Biomasse ; Budget ; Rénovation ; Fiscalité ; Éolien ; Solaire photovoltaïque ; Réglementation

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 459 - p.13 à p.13
Les conclusions des cinq ateliers thématiques menés dans le cadre de l'Observatoire énergies d'entreprises créé par EDF Entreprises sont regroupées dans un livre blanc début janvier 2011.

EDF ; Entreprise ; Observatoire ; Livre Blanc ; Généralité énergie ; Bilan carbone ; Économie d'énergie ; Consommation d'énergie ; Architecte ; Ingénieur ; Bâtiment ; Biomasse ; Grenelle de l'environnement ; Réseau électrique intelligent ; Mobilité

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 459 - p.13 à p.13
ILes conclusions des cinq ateliers thématiques dans le cadre de l'Observatoire énergies d'entreprises créé par EDF Entreprises sont regroupées dans un livre blanc publié début janvier 2011.

Observatoire ; Recherche ; EDF ; Région française administrative ; Secteur tertiaire ; Livre Blanc ; Entreprise ; Biomasse ; Réseau électrique intelligent ; Mobilité ; Efficacité énergétique ; Stockage de chaleur

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 193
Cote CLER : C4
Avec plus de 100 000 unités installées annuellement depuis trois ans dans les pays de l'Union européenne, les pompes à chaleur géothermiques se sont progressivement imposées comme un mode de chauffage confortable, économe et soucieux de l'environnement.

Capacité de production ; Chiffre clé ; Chiffre d'Affaire ; Emploi ; Entreprise ; Europe ; Livre Blanc ; Marché européen ; Pompe à chaleur ; Puissance installée ; Recensement / Inventaire

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 250609
Cote CLER : B4
«La création de cette nouvelle taxe sera aussi importante que celle de l'impôt sur le revenu» a déclaré Michel Rocard. «Elle devra être brutale pour être efficace et éviter à nos enfants de finir dans une poêle à frire!», a-t-il ajouté. Pour Jean-Louis Borloo, ministre d'Etat chargé de l'environnement, «la contribution ‘climat-énergie' (CCE) a pour objectif de favoriser une mutation de notre économie vers une économie décarbonée en introduisant 'un signal prix carbone'». Le but de la CCE (1) est de taxer les secteurs non intégrés dans le marché européen de quotas de CO2 (2) qui représentent pourtant 60% des émissions de CO2 de la France. Il s'agit principalement des transports (35%) et du bâtiment (25%). Pour ces secteurs, la France a pour objectif de réduire d'ici 2020 de 14% ses émissions par rapport à 2005. Mesure phare du Pacte écologique de Nicolas Hulot en 2007, la taxe carbone est inscrite dans le projet de loi Grenelle I, actuellement en deuxième lecture à l'Assemblée nationale. Le Livre blanc, un document d'une douzaine de pages, présente les enjeux et les questions posées par cette nouvelle imposition. Parmi les interrogations, figurent la définition de l'assiette de l'impôt (produits et/ou secteurs concernés), l'intégration de l'énergie nucléaire et la répartition de la charge entre les ménages et les entreprises. Une contrainte toutefois, la taxe devra se faire à taux de prélèvement obligatoire constant. Les recettes nouvelles devront financer en contrepartie la baisse d'autres impositions, «afin de préserver le pouvoir d'achat des ménages et la compétitivité des entreprises», conformément au souhait de Nicolas Sarkozy. Par ailleurs, un système de redistribution aux ménages défavorisés est prévu via un «chèque vert», une mesure saluée par l'association de consommateurs UFC-Que Choisir. Evoquée plusieurs fois par le Président de la République, l'hypothèse de substitution de la taxe professionnelle [29 milliards de recettes] par la taxe carbone [entre 6 et 12 milliards selon les estimations], ne semble plus à l'ordre du jour. «La réforme en cours de la taxe professionnelle est distincte du projet de création de la CCE» a indiqué Christine Lagarde, ministre de l'économie. «Il vaudrait mieux choisir comme facteur variable un impôt plus simple», estime pour sa part Michel Rocard. Jean-Louis Borloo a enfin prôné l'harmonisation de cette disposition à l'échelle européenne, conformément à l'un des vœux du Medef. Plusieurs pays européens (Danemark, Suède, Royaume-Uni) ont d'ailleurs déjà mis en place un système comparable. Un débat est également en cours en Allemagne. La conférence de consensus des 2 et 3 juillet se répartira en deux ateliers, l'un consacré à l'intérêt général de l'outil, le second aux effets de sa mise en œuvre sur l'environnement, les comportements et l'économie. Une vingtaine d'experts et de représentants du monde économique et de la société seront présents, des centaines d'autres seront auditionnés. Leurs propositions «qualitatives» seront restituées la semaine suivante. Michel Rocard a évoqué la possibilité d'une seconde conférence pour définir des objectifs «quantitatifs». Le but étant d'inscrire la mesure dans la loi de programmation de finances pour 2011. Les acteurs de la société civile sont invités à donner leur avis sur le Livre blanc jusqu'au 24 juin. Une des pistes consisterait à augmenter les taxes sur les énergies. «La Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) (gazole, super sans plomb et fioul) ne représente que 3,5% de nos prélèvements obligatoires, tandis que la main d'œuvre sert d'assiette à 38% de nos prélèvement», remarque Michel Rocard. Le fioul domestique est ainsi taxé à 21 euros/tonne de CO2 en France contre 56 €/t en moyenne dans l'UE et 131 €/t en Suède. Reste à déterminer l'impact environnemental d'une telle mesure. Sceptique, UFC-Que Choisir souligne que «la consommation totale de gaz des ménages a continué de croître (+ 2,7%) entre 2004 et 2007 alors même que le prix a flambé» sur cette période. Autre question centrale: l'articulation entre la CCE et le dispositif européen de quotas de carbone, par rapport auquel Michel Rocard se montre d'ailleurs critique: «Le risque de spéculations rend le système moins offensif et un prix trop faible de la tonne de CO2 moins dissuasif.» La fédération d'associations France nature environnement (FNE) se félicite que la réflexion se soit engagée sur la CCE, mais elle met en garde contre le risque d'effets pervers liés notamment à la substitution de la taxe professionnelle. «La CCE ne doit pas avoir pour finalité de remplir les caisses de l'Etat, souligne Arnaud Gossement, porte-parole de FNE. La ‘bonne' CCE est celle qui disparaîtrait à terme, son objectif étant de réduire la consommation d'énergie.» Selon FNE, la fiscalité verte en France représentait seulement 2% du PIB en 2005 pour une moyenne de 2,6% dans l'Europe des 15. (1) à distinguer de la taxe carbone aux frontières de l'Europe ou taxe Cambridge qui vise à réduire les risques de fuites de carbone des secteurs ETS les plus exposés (2) Système communautaire d'échange de quotas d'émission ou Emission Trading Scheme (ETS)[-]
«La création de cette nouvelle taxe sera aussi importante que celle de l'impôt sur le revenu» a déclaré Michel Rocard. «Elle devra être brutale pour être efficace et éviter à nos enfants de finir dans une poêle à frire!», a-t-il ajouté. Pour Jean-Louis Borloo, ministre d'Etat chargé de l'environnement, «la contribution ‘climat-énergie' (CCE) a pour objectif de favoriser une mutation de notre économie vers une économie décarbonée en introduisant ...[+]

CO2 / Dioxyde de carbone ; Économie d'énergie ; Écotaxe ; Entreprise ; Région française administrative ; Livre Blanc ; Marché Européen des Quotas CO2 ; Particulier / Ménage ; Politique énergétique ; Politique environnementale ; Secteur résidentiel ; Secteur tertiaire ; Taxe Carbone ; TIPP

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 90409
Cote CLER : A2
La Commission européenne a publié le 1er avril son Livre blanc qui présente les mesures de sa stratégie ''en deux phases'' visant à aider l'UE à s'adapter aux changements climatiques et atténuer les effets du réchauffement sur la population, l'économie et l'environnement. Si l'UE s'est engagée à réduire de 20% ses émissions d'ici 2020 pour limiter le réchauffement de la planète à moins de 2°C, il n'est plus possible d'inverser la machine du changement climatique et ses conséquences sont irréversibles, a prévenu le commissaire européen à l'Environnement Stavros Dimas. Il devient donc urgent de se préparer, a-t-il souligné. Rappelons que la Commission avait déjà publié le 29 juin 2007 un premier Livre vert sur le changement climatique qui proposait des possibilités d'action communautaire et lancé jusqu'au 30 novembre 2007 une consultation publique. Déjà, depuis 1998, l'Europe a connu 100 grandes inondations qui ont fait plus de 700 morts, déplacé un demi million de personnes et causé pour 25 milliards d'euros de dégâts, a précisé M. Dimas. A long terme, selon le commissaire aux Affaires maritimes et à la pêche, Joe Borg, près de 50% de la population européenne vivant en région côtière sera exposée à ce risque d'inondations. Pour s'adapter, il s'agit donc de trouver des moyens d'utiliser l'eau plus efficacement, de mettre au point des cultures qui résistent aux sécheresses et de renforcer les infrastructures côtières de protection contre les inondations, a souligné la Commission. Pour ce faire, le Livre blanc entend définir un cadre dans lequel l'UE et les Etats membres devront diriger leurs actions. La Commission présente la première phase de sa stratégie qui sera menée jusqu'en 2012 et repose sur quatre domaines d'action. L'objectif étant de mieux comprendre le changement climatique et d'examiner les mesures d'adaptation envisageables ainsi que la façon d'intégrer l'adaptation dans les principales politiques communautaires. La Commission propose tout d'abord d'améliorer les connaissances en matière d'adaptation au niveau communautaire. Elle envisage de mettre en oeuvre d'ici 2011 un centre d'échange d'informations sur les effets du changement climatique. Le Livre blanc propose également de tenir compte des impacts environnementaux dans tous les domaines politiques, notamment ceux de la santé, de l'agriculture, de la sylviculture, de la biodiversité et des politiques marines et côtières. Dans chaque domaine, les décideurs politiques devront en outre calculer les coûts d'action et d'inaction. Par ailleurs, la Commission rappelle que la plupart des mesures d'adaptation seront mises en œuvre au niveau national ou régional. Le rôle de l'Union européenne sera de soutenir ces efforts en adoptant une approche intégrée et coordonnée, notamment en ce qui concerne les questions et les politiques transfrontières qui sont largement intégrées au niveau de l'UE, souligne le Livre blanc. La Commission indique également vouloir développer la coopération internationale sur le sujet et aider les pays les plus touchés. Rappelons que la Commission avait déjà demandé aux pays industrialisés et en développement d'élaborer des stratégies nationales d'adaptation, dans une communication présentant sa position dans la perspective de la réunion internationale sur le changement climatique qui doit se tenir à Copenhague en décembre prochain. Concernant la France, un plan national d'adaptation aux changements climatiques, prévu par le projet de loi de programme relatif à la mise en œuvre du Grenelle de l'environnement, devra être arrêté début 2011. Ce plan rassemblera des orientations sur des sujets comme la lutte contre les inondations et l'adaptation des zones littorales, l'évolution des forêts, la question de l'eau et l'adaptation de l'économie. Il doit trouver sa déclinaison territoriale dans les plans climat et dans les futurs schémas régionaux - climat air énergie. Par ailleurs, la Commission créera un groupe de pilotage consacré aux incidences du changement climatique et à l'adaptation. Ce groupe réunira des représentants des États membres de l'UE qui participent à l'élaboration de programmes d'adaptation nationaux et régionaux et consultera des représentants de la société civile et de la communauté scientifique. Il recevra le soutien de groupes de travail techniques, notamment dans le domaine de l'agriculture. La Commission européenne doit élaborer pour 2013 sa stratégie communautaire complète d'adaptation au changement climatique.[-]
La Commission européenne a publié le 1er avril son Livre blanc qui présente les mesures de sa stratégie ''en deux phases'' visant à aider l'UE à s'adapter aux changements climatiques et atténuer les effets du réchauffement sur la population, l'économie et l'environnement. Si l'UE s'est engagée à réduire de 20% ses émissions d'ici 2020 pour limiter le réchauffement de la planète à moins de 2°C, il n'est plus possible d'inverser la machine du ...[+]

Changement climatique ; Commission européenne ; Impact environnemental ; Livre Blanc ; Objectif européen ; Politique environnementale ; Programme d'action

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 186
Cote CLER : C4
La forte augmentation du prix des combustibles fossiles a renforcé l'attractivité de la filière biogaz. Son champ d'action autrefois limité à la valorisation des déchets s'est élargi grâce à l'utilisation de cultures énergétiques permettant à la production européenne de retrouver un nouvel essor. Cette dernière s'établit désormais à 5,9 Mtep, soit une croissance de 20,5 % par rapport à 2006.

Biogaz ; Chiffre clé ; Entreprise ; Europe ; Région française administrative ; Livre Blanc ; Objectif européen ; Production d'électricité ; Production d'énergie ; Production de chaleur ; Professionnel ; Tarif d'achat

Sélection
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 180
Cote CLER : C4
Avec près de 44,3 % d'augmentation en 2006, le marché européen du solaire thermique a dépassé la barre des 3 millions de m2 de capteurs, équivalents à une puissance supplémentaire de 2 159,7 MWth. Cette croissance spectaculaire s'explique à la fois par le contexte énergétique tendu que connaît actuellement l'Europe (augmentation importante du prix du fioul et du gaz) et par une volonté politique de certains pays de développer la filière.

Capacité de production ; Capteur non vitré ; Capteur solaire ; Capteur tube sous vide ; Chiffre clé ; Chiffre d'Affaire ; Croissance / Augmentation ; Emploi ; Entreprise ; Europe ; Industrie ; Livre Blanc ; Marché européen ; Puissance installée ; Solaire thermique ; Surface installée

Sélection