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- n° 422 - p.16 à p.17
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Une campagne inédite d'Airparif fait ressortir une pollution aux particules ultrafines plus importante en zone urbaine qu'à la campagne. Elle pointe comme source principale le trafic routier, suivi par le chauffage au bois.

Milieu urbain ; Air ; Pollution de l'air ; Chauffage ; Impact santé ; Chauffage bois ; Chiffre clé ; Mobilité

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Cote CLER : EN LIGNE
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Les petits Franciliens respirent un air dangereusement vicié. C'est ce que montre une nouvelle étude de l'association Respire, publiée le 15 février. Selon cette étude, l'ensemble des 12 000 établissements scolaires de la région Île-de-France dépassent les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière de pollution aux particules fines (PM2,5). 93 % d'entre eux dépassent celles relatives au dioxyde d'azote (NO2). Par ailleurs une nouvelle étude de l'Observatoire régional de Santé (ORS) et d'Aiparif publiée ce 10 février quantifie l'impact de la pollution de l'air sur la mortalité dans la région. Près de 8.000 morts par an, en moyenne, pourraient être évités dans la région, en respectant les seuils de référence recommandés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), estiment les deux organismes. La mortalité liée à la pollution atmosphérique provient essentiellement de l'exposition aux particules fines PM 2.5 et dans une moindre mesure au dioxyde d'azote et à l'ozone.[-]
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Les petits Franciliens respirent un air dangereusement vicié. C'est ce que montre une nouvelle étude de l'association Respire, publiée le 15 février. Selon cette étude, l'ensemble des 12 000 établissements scolaires de la région Île-de-France dépassent les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière de pollution aux particules fines (PM2,5). 93 % d'entre eux dépassent celles relatives au dioxyde d'azote ...[+]

Ile-de-France ; Collectivité locale ; Qualité de l'air ; Impact santé ; Bâtiment ; Ecole ; Pollution de l'air ; Chiffre clé

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