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Cote CLER : EN LIGNE
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L'Ineris présente l'impact que les mesures de sobriété de l'hiver 2022/2023 ont pu avoir sur la qualité de l'air en termes de concentration de polluants dans l'air ambiant. Elle s'appuie d'une part sur les émissions estimées par le Citepa pour 2022/2023, et d'autre part sur le méta-modèle ACT, qui représente de manière statistique le comportement du modèle de qualité de l'air CHIMERE et permet de simuler les concentrations en prenant en compte divers scénarios d'émissions. Les émissions du Citepa reposent sur la consommation énergétique, évaluées avec un délai de seulement quelques mois, et tiennent donc compte de l'effet des mesures de sobriété sur la consommation d'énergie mais aussi indirectement de l'effet de la météorologie (écart de température pour l'hiver 2022-2023 par rapport à la climatologie...
Les particularités de cet hiver, à savoir la crise énergétique mais aussi les anomalies météorologiques, ont entraîné conjointement une diminution des concentrations de PM2.5 sur l'ensemble du territoire métropolitain. Si la baisse d'émission de particules primaires rapportées par le Citepa était estimée à -8% sur les trois mois d'hiver (décembre, janvier, février), l'Ineris évalue le bénéfice sur les concentrations de PM2.5 dans l'air ambiant à -4,2%. Ce bénéfice moindre est dû au rôle des autres précurseurs sur les aérosols secondaires mais aussi à l'existence de particules fines non-anthropiques.
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L'Ineris présente l'impact que les mesures de sobriété de l'hiver 2022/2023 ont pu avoir sur la qualité de l'air en termes de concentration de polluants dans l'air ambiant. Elle s'appuie d'une part sur les émissions estimées par le Citepa pour 2022/2023, et d'autre part sur le méta-modèle ACT, qui représente de manière statistique le comportement du modèle de qualité de l'air CHIMERE et permet de simuler les concentrations en prenant en ...
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Sobriété ; Qualité de l'air ; Crise énergétique
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Cote CLER : EN LIGNE
"La contribution importante du secteur du chauffage au bois dans la production d'énergie thermique renouvelable, le besoin d'améliorer les performances énergétiques et environnementales des appareils et l'intégration des appareils dans l'habitat ont conduit l'ADEME à lancer en 2005 un programme structuré de recherche et développement sur le bois énergie domestique. Le présent projet porte sur la caractérisation des émissions de la combustion du bois. Il ambitionne d'apporter des éléments de réponses relatifs à l'impact des appareils de chauffage domestique au bois sur l'air intérieur et l'air extérieur, via l'utilisation de traceurs spécifiques de la combustion du bois. Les résultats montrent que les facteurs d'émission obtenus dans cette étude ne remettent pas en cause ceux utilisés à ce jour par le CITEPA pour les différents polluants, sauf éventuellement pour les particules et le taux de benzène dans les émissions de composés organiques volatils non méthaniques. Les concentrations observées pour les traceurs spécifiques de la combustion de biomasse, couplées aux faibles concentrations en NO2 et aux niveaux élevés en particules, a permis de confirmer l'impact marqué de la source ""combustion du bois"" sur la qualité de l'air extérieur en milieu rural. S'agissant de l'air intérieur, une influence du chauffage au bois a été observée pour le NO2, CO, les particules, le benzène et les HAP. À priori mineur pour le NO2 et le CO, cet impact peut être qualifié de notable pour les particules et de majeure pour le benzène et les HAP. Par ailleurs, les concentrations intérieures en formaldéhyde ne semblent pas affectées par la combustion bois, compte tenu vraisemblablement des nombreuses autres sources d'émission de ce composé dans l'environnement résidentiel. Concernant spécifiquement les traceurs de la combustion bois, les résultats montrent, en accord avec la littérature, que le composé le plus émis est le lévoglucosan. Cependant les facteurs d'émission des différents composés mesurés dans cette étude sont relativement plus faibles que ceux rapportés dans la bibliographie. D'autre part, le lévoglucosan a été pour la première fois en France mis en évidence sur la phase particulaire collectée dans les atmosphères intérieures."
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"La contribution importante du secteur du chauffage au bois dans la production d'énergie thermique renouvelable, le besoin d'améliorer les performances énergétiques et environnementales des appareils et l'intégration des appareils dans l'habitat ont conduit l'ADEME à lancer en 2005 un programme structuré de recherche et développement sur le bois énergie domestique. Le présent projet porte sur la caractérisation des émissions de la combustion du ...
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Appareil de chauffage ; Appareil de mesure ; Biomasse ; Bois énergie ; Chauffage bois ; Cheminée ; CO / Monoxyde de carbone ; Combustion ; Consommation de bois ; Foyer fermé ; Région française administrative ; Impact environnemental ; Poêle à bois ; Polluant ; Pollution de l'air ; Pyrolyse / Thermolyse ; Recensement / Inventaire ; Rendement ; Résultat / Conséquence ; Secteur résidentiel ; Suivi